Issad Rebrab – qui n’est autre que le PDG du premier groupe privé algérien, Cevital – a été interpellé par les autorités locales dans la nuit de lundi à mardi. Et cela, dans le cadre d’une vaste enquête anti-corruption.
Selon Le Figaro, la première fortune du pays est en effet « soupçonnée de fausse déclaration concernant les mouvement de capitaux (à l’arrivée et au départ du territoire). Mais aussi de surfacturation et d’importation de matériel usagé en dépit de l’octroi d’avantages bancaires, fiscaux et douaniers destinés (normalement) au matériel neuf ».
Néanmoins, Rebrab a immédiatement contesté cette version sur Twitter. L’intéressé expliquant avoir seulement été entendu par la gendarmerie dans le cadre du blocage depuis près d’un an au port d’Alger d’équipements industriels appartenant à son conglomérat. Une situation qu’il a qualifiée dans la foulée « d’illégitime ».
A suivre donc…