Sans surprise, la présidentielle algérienne ne se déroule pas dans les meilleures conditions. De nombreux frondeurs de la société civile, dont une partie significative d’étudiants, ont effet perturbé le scrutin de jeudi.
Ces derniers redoutent une nouvelle fois une mascarade politique du pouvoir étatique afin d’assurer la succession d’Abdelaziz Bouteflika.
« Le vote a été momentanément suspendu dans au moins un bureau de vote à Alger après l’intrusion de manifestants. Et surtout en Kabylie, région traditionnellement frondeuse, où des urnes ont été détruites et des bureaux saccagés.
(Par ailleurs), il y a également eu des manifestations monstre (dans la capitale), mais également dans d’autres villes », a ainsi confirmé la journaliste, Anne-Charlotte Hinet, auprès de France TV Info.
« Quant à la participation, (cette dernière) est restée assez faible », a ajouté l’intéressée.
A suivre…